Skip to content
Sur la route de Verlaine
ardennais de souche et de cœur
Primary Menu
Accueil
Arbre généalogique
Arville
Bertrix
Etude du notaire Henri-Joseph Verlaine
Beth
Les Abbys
Bouillon
Château de Bouillon « le burg »
L’hôtel des « Ardomphes »
La « Semoy »
La vieille route de France et La Ramonette.
Le presbytère de l’abbé Xavier Delogne
Les petits escaliers
Carlsbourg
Le château Grandjean-Verlaine
Corbion
L’hôtel « le Relais »
La maison des Couleuvres
La stèle de l’abbé Dewez
Le presbytère de l’abbé Dewez
Jéhonville
Cimetière
L’étang noir
La place Paul Verlaine
Tante Julie
Musiques
Arts poétique Léo Ferré
Chanson d’automne Charles Trenet
Colloque sentimental Léo Férré
Dansons la gigue! Corrado Comoglio
Green Léo Ferré
Il patinait merveilleusement Léo Férré
Je fais souvent un rêve étrange Julos Beaucarne
Je vous vois encore Léo Ferré
Je vous vois encore Léo Férré
L’espoir luit comme un brin de paille dans l’étable
La bonne chanson Paul Derenne
Les soleil couchants Samir Barris
O triste était mon âme
Paliseul
Café brasserie Sur le Pouce (Maison Jean-Joseph Istace)
Chapelle Saint-Roch
Eglise Saint-Eutrope
Grand-Place
La hache
Maison Douret et la Poste (anciennement hôtel du Lion d’Or et l’hôtel des Ardennes)
Maison Paul Verlaine aujourd’hui (Maison Perot)
Optique Douret (Maison Grandjean Verlaine dite Maison Francken)
Stèle Perot
Syndicat d’initiative de Paliseul
Poèmes lus
Au clair de lune
Dame souris trotte
Femme et chatte
La neige à travers la brume
Nevermorre
Vêpres rustique
Soleil couchant
sources
Il patinait merveilleusement Léo Férré
