Adopter une attitude critique face aux contenus qui se diffusent notamment sur Internet et les réseaux sociaux.
Comprendre les rouages d’une fausse-information en créant soi-même une info-canular (dans le respect de certaines règles de non-atteinte à autrui) en faisant appel à sa créativité.
"Deux formats ont privilégié un système de pensée très binaire et de polarisation du débat public : le format video et le format image. Ceci contribue à une simplification de la pensée et à la désignation de cibles. La désignation des journalistes comme une cible, en réalité, ça fait plus de 15 ans qu’elle se répand à travers le web. De là à dire que c’est le web qui en est responsable, non."Marie Peltier
"La problématique rassemble tous les attributs d’une véritable question de société, dont chacun s’empare avec son propre système de croyances et de compétences. Révélatrice d’impensés, creuset de controverses, miroir grossissant de luttes d’influence, elle déstabilise les certitudes et met en lumière des déplacements qu’on préférait ne pas voir. Question médiatique, sociétale, technologique, épistémologique et politique : les fake news ne désignent pas tant un fait qu’un nœud de tensions et de transformations quasiment impossibles à surplomber, mais dont chacun pressent qu’elles sont un masque grimaçant et vrai de notre époque." Louise Merzeau
Avant on appellait ça des rumeurs, de la propagande, des fausses nouvelles. Aujourd'hui 2019, qu'est-ce qui relève de la "fake news"?
Différencions les différents types de fakes news (Clickbait, les hoaxes, la satire, les fakes news, les social bots, etc.)
Nous verrons qu'une partie du problème relève de la nature même du modèle économique de la publicité sur Internet. Suivez l'argent, vous trouverez le faker.
-le modèle économique du web
-FB et les autres géants. Leur responsabilités, leurs rôles demain.
-Twitter, miroir des alouettes ?
-Les différents pièges à cons.
The truth isn't the truth anymore....
De «l'ère de l'information», nous nous dirigeons vers «l'ère de la réputation», dans laquelle l'information n'aura de valeur que si elle est déjà filtrée, évaluée et commentée par d'autres.
Crise du journalisme, Fakes, complots et démocratie. Le cas des élections dans les pays de l'Ouest est l'objet de toutes les inquiétudes : déconstruction du cas Trump / plongée dans l'année des gilets jaunes / robots brésiliens.
légiférer sur les fake news, une bonne idée ?
A l'ère du "qui croire?" Les efforts de vérification feront la différence entre une nouvelle et une autre. Internet n'oublie rien et les outils sont là pour investiguer le parcours de ces contenus louches.
Remonter le flux ...
outils de pistage sur les Internets
Le fact-checking et le journalisme, c'est pareil ?
Le journaliste est-il nécessaire -ou pas- à nos démocraties chancellantes?
Qui lire, qui voir, qui croire ? Remontons rapidement le fil de nos actus et voyons ce qu'il reste du paysage médiatique de papa et à quoi ressemble le vôtre.
Les rôles du lanceur d'alerte : discussion et points de vue
Les rôles du journaliste : discussion et points de vue
Où commence la parano ? y-a-t-il une frontière entre la vérification légitime des infos et l'élaboration de théories fumeuses ?
ressorts classiques du complot
raisonnable ou pas ? la bonne vieille méthode journalistique fonctionne-t-elle encore ?
la réponse sécuritaire des états face à nos droits individuels. La vie privée,...
Pas la peine de jouer les effarouchés, le mensonge et la manipulation resteront au coeur de l'appareil médiatique. Les nouveaux environnements numériques permettent à tout un chacun de mener de véritables guerres de l'information. Certains ne s'en privent pas; pour l'argent, la cause ou juste pour le fun...
Vers une ethique du fake ?
L'ère de l'information semble derrière nous et le mensonge publié semble plus efficace pour faire avancer sa cause. Où mettre la limite ?
Peut-on mêler la morale et la publication de fake news ?
Avec un peu d'imagination, tout devient possible, suspect.
Dans cette ville en mouvement constant depuis 350 ans, des traces persistent et nous éclairent sur les incroyables choses qui se passent -encore aujourd'hui- au nez et à la barbe des carolos eux-même....
Au moyen d'un canevas video prémaché, nous chercherons les coïncidences improbables et les illuminatis derrière chaque image qui nous entoure et nous les articulerons jusqu'à élaborer une thèse bien absurde (ou pas).
Cette réflexion sur l'évolution des circuits de l'information débouche tout naturellement sur d'autres questions : après l'info, quels autres "piliers" de nos société sera imapcté par la digitalisation ? Et quels choix technologiques les citoyens seront-ils en mesure de réclamer ?
Le choix ne nous est pas proposé : demain, la gestion de nos interactions, participations, anticipations et autres gestion de territoires passeront par plus d'automatisation. Les algorithmes sont de plus en plus fins & la chose publique décentralisée entres les acteurs-citoyens devient un horizon technologique envisageable grâce aux différents projets en trains de se dévellopper sur les "chaines de blocs".
En bref, l'informatique, froide et présentée comme "neutre" est prête à prendre la conduite des affaires; remplaçant aux passages les mandataires soupçonnables et les citoyens désabusés. Fantastique ?